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PLATON (- 428 -347)
- La connaissance des mots conduit à la connaissance des
choses.
- Il n'y a rien de bon
ni de mauvais sauf ces deux choses : la sagesse qui est un bien et l'ignorance
qui est un mal.
- La vérité sort de la
bouche des enfants.
-
S'il est un homme qui se suffit à lui-même pour être heureux, c'est bien le
sage. Il est de tous les hommes celui qui a le moins besoin
d'autrui.
- La victoire sur soi est la
plus grande des victoires.
- La justice de
l'intelligence est la sagesse. Le sage n'est pas celui qui sait beaucoup de
choses, mais celui qui voit leur juste mesure.
- Pour
enseigner, il faut de l'éros. " L'éros est un mot grec qui signifie le plaisir,
l'amour, la passion. Pour communiquer, il ne sert à rien de débiter du savoir en
tranches, mais il faut aimer ce que l'on fait et aimer les gens qui sont en face
de nous. L'enseignant est celui qui, à travers ce qu'il professe, peut vous
aider à découvrir vos propres vérités.
- Il ne dépend que de nous de suivre
la route qui monte et d'éviter celle qui descend.
-
Le sage parle parce qu'il a quelque chose à dire, le fou parce qu'il a à dire
quelque chose.
- C'est la vraie marque d'un philosophe que le
sentiment d'étonnement.
-
Ce n'est pas de vivre selon la science qui procure le bonheur ; ni même de
réunir toutes les sciences à la fois, mais de posséder la seule science du bien
et du mal.
- Chacun, parce qu'il pense, est seul responsable de
la sagesse ou de la folie de sa vie, c'est-à-dire de sa
destinée.
-
La musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée.
- La plupart des hommes au pouvoir
deviennent des méchants.
- Les yeux
de l'esprit ne commencent à être perçants que quand ceux du corps commencent à
baisser.
- La vieillesse est un état de repos quant aux sens.
Lorsque la violence des passions s'est relâchée, on se voit délivré d'une foule
de tyrans forcenés.
- Ce n'est pas parce qu'on craint de la commettre, mais
c'est parce qu'on craint de la subir que l'on blâme
l'injustice.
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